• ergo proxy

    poupée de paille noire

    L’histoire se déroule dans un futur indéterminé. Suite à diverses catastrophes naturelles, la Terre est devenue en grande partie inhabitable. L’humanité vit regroupée dans des cités recouvertes d’un dôme qui n’ont que peu de contacts entre elles et le passage d’une cité à l’autre est strictement réglementé.
    Romdo est l’une de ces villes-dômes. Les humains y coexistent avec des robots appelés AutoReivs qui servent à contrôler les faits et gestes des Citoyens. C’est un « paradis où les émotions ne sont pas requises » et tout y est entièrement contrôlé et régulé. Le crime y est inconnu, jusqu’au jour où un mystérieux virus du nom de Cogito frappe les AutoReivs, les dotant de conscience. Des meurtres commencent alors à se produire au sein de la cité. Re-l Mayer, jeune inspectrice appartenant au Bureau Civil du Renseignement, est à la poursuite d’un mystérieux meurtrier dans cette cité paradisiaque. Un soir, alors qu’elle rentre chez elle, un étrange message annonçant « l’Eveil » apparaît sur son miroir quelques secondes avant qu’elle ne soit attaquée par un être fantomatique et difforme…

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    Un petit aperçu de ici Ergo Proxy

    Projeté dans notre futur, le monde post-apocalyptique d'Ergo Proxy est constitué majoritairement de terres désertiques, balayées par les éléments déchaînés et hostiles dû à la rupture de l'équilibre écologique créée par la destruction d'une grande réserve d'hydrates de méthanes. Les survivants se sont regroupés au sein de dômes, villes de quelques centaines de kilomètres carrés, vivants en autarcie. L'histoire en mentionne deux, Romdo et Mosk.

    Les communautés des dômes survivent grâce à l'assistance d'androïdes, les autoreivs, qui, par une présence constante, les aident dans toutes leurs activités, et accessoirement, les surveillent. Une sélection génétique est opéré sur les enfants à naître, pour assurer la viabilité génétique de l'espèce et sociale de la communauté. Les éléments extérieurs à la cité ne peuvent en principe y pénétrer.

    Des communautés subsistent cependant en dehors des dômes, s'agglutinant autour de ceux-ci, vivant de leur rejets, ou bien en petites communautés plus ou moins isolées. La survie y est difficile, l'air extérieur étant toxique, allant jusqu'à entraîner la mort.

     

     


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